The battle for influence at the digital frontier
BROWN, R. 2009. « Chapitre 9 – The battle for influence at the digital frontier » et « Chapitre 10 – Horses and courses » In « Public Relations and the Social Web : How to use social media and Web 2.0 in communications ». Philadelphia : Kogan Page.
Fiche de lecture réalisée par Ema Zajmovic
Mots-clés
Relations publiques 2.0, Médias sociaux, C2C, Digital natives, Digital immigrants.
Résumé des chapitres
Dans le chapitre 9, Brown explique que nous entrons dans la troisième vague d’influence en ligne. Celle-ci est caractérisée par la démocratisation du contenu, possible grâce au user generated content. Dans ce nouveau contexte, il faut que les gestionnaires maitrisent l’art de la diplomatie et de l’influence. On parle maintenant de relations publiques 2.0, auxquels l’art de la conversation est primordial. L’auteur explique aussi que nous sommes à l’époque du C2C, et non plus du B2B ou du B2C. Cette nouvelle forme d’échanges est caractérisée et alimentée par l’insatisfaction. En effet, les médias sociaux donnent place à un contexte dans lequel les internautes peuvent exprimer leur désaccord et leurs critiques. Pour répondre à ces nouveaux aléas, Brown propose aux organisations une démarche en cinq étapes pour répondre à un internaute insatisfait dans ce contexte bien précis.
L’auteur présente aussi des pistes pour déterminer le besoin des relations publiques numériques (PR Digital). Tout d’abord, quels sont les publics privilégiés ? Brown utilise les notions de digital natives et de digital immigrants pour distinguer les publics. Le premier représente les internautes qui sont nés avec les nouveaux médias alors que le deuxième désigne ceux qui ont à davantage s’adapter. Cette distinction oblige les organisations à communiquer avec un langage adapté. L’auteur suggère de se questionner sur ce qu’on a à leur donner, la valeur ajoutée, en allant sur ces nouvelles plateformes. Enfin, le chapitre 10 se termine en présentant des domaines d’activités qui ont une tendance naturelle vers un niveau d’engagement plus élevé. En effet, le monde de la musique et de la politique sont des exemples caractérisés par un niveau d’engagement plus élevé de la part des publics que de la part des organisations, ce qui les prédispose aux nouveaux médias.